Lundi 23 mai 1 23 /05 /Mai 23:26

 Je suis passé voir Nitouche hier soir et elle n'était pas là. Alors c'est pour ce soir. Cela fait une vingtaine d'années que je la connais maintenant. L'une des premières phrases qu'a pronnoncé "nitouche" lors de nos premières entrevues fût : "un jour, je te mettrais en laisse et je te promènerais ainsi un peu partout". Elle ne croyait pas si bien dire !!! Je fus vite en effet mise en laisse et promenée partout. Nitouche continua l'entreprise de dépravation que le vice avait ouvert sur moi et doucement mais sûrement elle ajouta même d'autres fétichismes à ceux exixtants déjà et ouvra une brèche à tout ce qui était de l'ordre du bdsm dans sa globalité.                       

Par cabaretduvice - Publié dans : Maitresse Nitouche
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Lundi 23 mai 1 23 /05 /Mai 10:20

Dans ma tête c'est ainsi, un véritable cabaret de luxure, où tous les personnages que génèrent mon vortex se mélangent les uns aux autres. Mais si quelques uns sont virtuels certains et certaines sont bel et bien réels comme André et Nitouche. Nitouche est une femme que je cotoie depuis 19 ans issue....mais nous en parlerons plus tard lorsque je vous raconterais mes "séances" que j'ai avec elle.

 

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Je reviens à André ce beau mâle italo ami d'enfance qui m'a incité et révélé au vice. Certains me parleraient de "viol" ou de perversion de cet acabit mais il n'en est rien. André était bien plus malin, plus machiavélique que cela. Il a su déjà repérer la salope qui sommeillait en moi, la faire resurgir et a su m'inciter à passer de l'autre côté de la barrière et à faire sauter toutes mes limites. C'est ainsi que nous n'en restâmes pas aux simples jeux de léchouilles, bisoutage de gland ou début de pipe avec lui il fallait aller plus loin. Si André avait pratiqué cela sur moi actuellement je pense que l'on aurait pû lui attribuer la qualité de Maître es salope trav.  Mais revenons à nous. Non nous n'en restâmes pas là. De la maison de campagne que ses parents avaient il déménagea à la ville et c'est chez lui en toute  impunité que je continuais mon apprentissage lorsque mes parents m'y amenait. André était très fort. Il m'avait perverti et ma dépravation était bien ancré dans mon vortex. Si bien que lorsque mes parents m'annonçaient que nous allions passer le week-end chez lui mon sang se glaçait et mon sexe se chauffait dans la seconde qui suivait. J'en avais envie malgré le poids et la lourdeur des actes pour une jeune salope sensuelle comme moi. J'aurais pu crier et dire "non" mais André avait tellement bien  sû m'inciter que j'étais passé de l'autre côté et j'avais une réelle envie de vice. Je ne me masturbais pas à l'époque et c'est notamment  lui qui m'appris cet art-là.

 

Sa chambre était située à deux pas des toilettes et nous passions les après-midi à cela. Son ascendance sur moi était toujours plus forte de séance en séance. La masturbation fût pour moi une découverte totale. Il me montra d'ailleurs une première fois comment le foutre pouvait sortir de son sexe. Sa queue avait la peau vitreuse et son gland en était turgescent au maximum. L'urêtre était toujours ouvert, béant et laisser échapper une odeur dont j'ai encore d'excellents souvenirs. Après l'avoir sucé il passé sa main sur sa queue en me demandant de regarder fixement le gland. Il branlait, encore et encore. Je ne savais pas pourquoi il faisait cela mais apparemment cela lui donnait un plaisir intense. Je lui massais les couilles comme il demandé et alors comme il disait "la jute" sortait de sa queue..épaisse, drue, chaude. Il me demandait si j'avais bien regardé et il me plaçait sur les toilettes et me demandait d'en faire autant. Au début je remuais plus ma queue que je la branlais. Il prît alors ma main et l'appliqua comme il fallait sur mon sexe et branla en même temps que moi. J'allais et venais en suivant ses conseils verbaux répétitifs "montes, descends, voilà remontes, redescends" . Le plaisir était vraiment, vraiment intense. Mais je n'éjaculais pas. Voyant que cela ne venait et que j'étais longue il prenait alors ma queue entre sa main et s'appliquait à la faire déchargeait. Je me débattais tellement tout mon corps était secoué mais il me plaquait et me branlait encore plus fort jusqu'à jouir et regarder avec délice la liqueur blanche sortir de mon sexe. En quelques séances je devins une vraie clitoridienne de la masturbation. Cela devint un véritable art de vivre. C'est simple je me branlais partout : en voiture, au cinéma, aux wc, dans la chambre, etc... En fait je ne contrôlais plus grand chose. Je devenais de plus en plus salope entre ses mains. Et je savais que plus je serais avec lui plus il repousserait mes limites.

Par cabaretduvice
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Dimanche 22 mai 7 22 /05 /Mai 22:56

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J'ai un faible de salope, c'est le rouge et le noir. Je suis un fan de ses deux couleurs et de leurs coordonnées. Je trouve qu'elles vont plus que très bien ensemble. J'ai commencé à en devenir fétichiste en même temps que je suis devenu fétichiste des maillots de bains une pièce. Une amie à moi dont je reparlerais sur le blog nommé "nitouche" en avait pas mal et m'en faisait porter pour son plaisir et le mien aussi puisqu'elle avait remarqué que mes seins pointaient beaucoup plus dans ces belles matières moulantes à souhait. Nous avons pendant longtemps correspondu par le biais du net et je me rappelle encore de cette photo bien salace(dont la totalité figure dans l'album sur Colette Sigma que je me mettrais bientôt en ligne). Cette photo ou du moins le bout de cette photo m'a totalement emporté et conquis en salope rouge et noir et depuis ce jour je n'ai jamais quitté ces deux couleurs. Nous avions même poussé le vice(c'est le cas de le dire !!) à me faire faire le même bustier pour mes sorties nocturnes qui révèlaient un look totalement putassier ce qui ne me déplaisait point. J'ai ainsi porter pendant très longtemps soit en total travestie cette tenue, soit au travail sous mes habits d'homme cette tenue putassière que j'affectionnais et depuis ce temps je n'ai jamais abandonné ces deux couleurs.

Par cabaretduvice
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Dimanche 22 mai 7 22 /05 /Mai 22:21

banavert.jpg

 

 

Il fallait sans douter... En parlant de vice, de luxure ce journal intime ne pouvait et ne pourrait rester sobre, soft ou érotique. Les prévilégiés y ayant accès seront donc confrontés à des images assez chaudes. Je ne peux pas aborder ici le thème du sexe, de la bisexualité, du cybersex, de l'exhib, du fétichisme, ou toute autre pratique en campant sur des images très épurées. Je veux et souhaite montrer ce qui traîne dans ma tête et aussi sans doute dans la vôtre.

 

Le cybersex m'a ainsi apporté une totale liberté à l'écrit et j'ai appris par le biais de mes mots à lacher tout le vice qui est en moi. Cela m'a valu bien-sûr quelques déboires sur certains forums bien comme il faut mais cela m'a valu aussi de bonnes et franches discussions sur d'autres certains mâles, et dames me mailant qu'ils en avaient dégouliné de toute leur jouissance tellement mes mots les porter dans d'autres territoires.

 

Nous parlons des mots(très importants dans nos mondes cyber) mais ce sont surtout les images qui l'emportent. Je suis devenu très salope en fait quand je me regarde évoluer devant une glace ou sur une video. Mais je me dis que je me suis bien éduquée et toute seule. J'ai fait quelques rencontres capitales qui m'ont construit mais la plus belle a été unilatérale. Cela n'a été qu'une rencontre d'images, de videos d'elle. Colette Sigma, actrice porno a été celle qui a pas mal décidé de choses en moi, que cela soit au niveau physique, psychique et jouissif de la garce qui sommeillait en moi. Ne soyez pas étonnés de l'album dans lequel je place plusieurs photos pour lui rendre un hommage. Cette actrice doit avoir le trou du cul et la chatte les plus élastiques de notre pays et de notre continent et elle s'en est servie comme il fallait tout au long de sa carrière. J'ai visionné tous ces films un par un à chaque fois je mouillais devant derrière. Tout est beau dans le vice et la luxure chez elle :  le visage(très vulgaire, demandant le sexe), le physique(de très beaux seins), le parler(j'adore ses petits films amateurs en français), ses scénarios, et puis il y a aussi ses tenues qui savent la mettre en valeur. Elle est en moi.

 

Colette Sigma

Par cabaretduvice
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Dimanche 22 mai 7 22 /05 /Mai 21:06

Cybersex ceci, cybersex cela oui je pratique le cybersex avec des amies ou des amis. J'aime en fait autant pratiquer cela avec des femmes que des hommes. J'ai remarqué cependant une chose si les hommes peuvent se branler et arriver à la jouissance en lisant les femmes ne se livrent ou se livrent peu à ce genre de truc préférant être plus soft sur un messenger ou carrément préférant le réel. Moi adepte du vice j'ai dû me faire une raison. Il n'y a que les mâles qui assurent et cela est vrai en fait. Les mecs aiment se branler en tchat. Et j'en ai vu quelques unes dégorger leur foutre épais.

cyb

Adepte du cybersex, comment est-ce possible ? Trouver son pied ainsi ? Et pourtant ne vous déplaise nous sommes beaucoup à le pratiquer sans vergogne et c'est tant mieux. Il est bon de pratiquer cela sauf qu'il faut s'en sortir de temps à autre et passer au réel ou utiliser le réel pour s'entretenir. Je ne sais plus très bien quand j'ai commencé mais sans doute après m'être fait touché par un mec la première fois sous les couvertures que nous montions en chapiteau. Après qu'il m'est demandé de lui 1) Bisouter la queue sur le gland, 2) lécher 3) sucer. Il a quand même su y faire  je suis passé en fait sans le savoir au cybersex dans ma tête et j'ai commencé à imaginer les ambiances, les situations et j'ai desuite pratiqué la mise en scène et la mise en place de rituels pour mes joutes sexuelles. J'ai desuite recherché cette excitation, cette exaltation. Je ne peux pas dire que ce mec m'a forcé car j'ai aimé et c'est pour cela que je suis allé à la rencontre des hommes pendant un moment. Il m'a tellement bien incité et fait ressortir ma bisexualité qu'il m'a entraîné dans le cybersex et c'est le cybersex qui m'a construit un peu. Je l'ai revu souvent et cela a été mon premier mec et avec lui j'ai pris un pied incroyable à chaque fois. Mais une fois disparu j'ai dû combler le vide qu'il a laissé. Le cybersex a été pendant un moment une aubaine et un véritable palliatif car je vivais dans une ville très collet-monté et totalement imperméable à ce genre de pratique.

 

cyb humano

Du papier et des premiers dessins érotiques on passe au téléphone et à ses hôtesses "hot", puis on file vers les réseaux téléphoniques et leurs systèmes de duos, puis on accède au forum, on commence à pianoter sur un objet nommé minitel, 3615 salope, 36 15 bourgeoise, 36 15 ceci cela, puis c'est l'ordinateur, l'internet et non la limite n'existe plus et...c'est tant mieux. J'aime le cybersex. C'est ainsi. Je ne suis pas cyberdépendant, ni cyberdépendante lorsque je dandine mes fesses derrière ma webcam. J'aime ce plaisir immense qui m'est donné et que je donne. Et puis tout cela n'est qu'un jeu, un terrible jeu de plaisir où j'aspire toute la substance de personnes que je rencontre, que je voie, que j'observe pour l'intégrer à ma personne et m'en servir pour jouer dans le plaisir. Le cybersex c'est le pied !!


Par cabaretduvice
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